Test de Puddle

Réalisation technique

Toute la technique de Puddle s’appuie sur la gestion de son moteur physique, très réussie. Très coloré, le jeu propose une technique solide et agréable à regarder. Seul ombre au tableau, les temps de chargement sont trop longs et un peu trop fréquents à notre goût.

Direction artistique

Les 8 mondes de Puddle proposent tous des environnements très variés, et surtout une progression logique entre eux. Les jeux indépendants commencent à développer un sens artistique certain, et Puddle fait clairement partie de cette nouvelle vague ingénieuse.

Level design

Comme souvent dans les jeux d’adresse, Puddle propose une difficulté assez grande, et fait recommencer beaucoup de fois le même niveau au joueur. De nouveaux mécanismes interviennent régulièrement, ce qui relance constamment l’attrait du jeu. On aurait aimé quelques checkpoint à l’intérieur des niveaux, pour ne pas tout le temps se retaper les niveaux depuis le début.

Gameplay

Puddle est extrêmement simple à prendre en main, en n’utilisant que les deux gâchettes du pad Xbox 360. Il suffit de faire basculer l’écran d’un côté ou de l’autre pour faire bouger le liquide et l’amener au bout du niveau. Pour les moins courageux, un système de « Ouin-Ouin » propose des jokers pour passer des niveaux sans les jouer, mais il faudra tôt ou tard finir ces fameux niveaux pour de nouveaux avoir le droit d’en passer d’autres sans les jouer. Une gameplay simple, mais très efficace.

Scénario

Bande son

Minimaliste, la bande son n’est pas là pour faire le spectacle. Elle assure un habillage sympathique au jeu, en proposant des musiques adaptées et des bruitages aquatiques marrants.

Durée de vie

En dehors du mode Labo qui permet de customiser le menu, Puddle propose 8 mondes découpés en 6 niveaux chacun, ce qui nous donne un joli panel de 48 niveaux à boucler. Loin d’être une promenade de santé, le jeu devrait vous occuper un bon moment !

Conclusion

Le concept proposé par Puddle est très convaincant. Certes pas adapté à tous les types de joueurs, ce jeu d’adresse procure de très bonnes sensations manette en main, grâce à un moteur physique excellent. Les pièges et autres mécanismes s’enchainent bien, et la durée de vie est très bonne pour un jeu de cette gamme de prix. On le conseillera donc à tous les amoureux de Mercury HG ou encore Loco Roco, deux jeux dont Puddle s’inspire assez largement.

Verdict : 15 / 20

  • Sadako

    Journaliste gaming et high-tech depuis 2009, je suis "Vanlifer" depuis 2021, dans mon camping-car équipé pour travailler sur les routes tout comme pour profiter de bons moments de détente !

    Vous aimerez aussi

    Test de STALKER 2 | Inachevé, buggé et soporifique

    Notre test de STALKER 2 s’est fait dans la douleur, mais nous sommes maintenant apte à vous donner notre avis !

    PS5 Pro | Le grand test de la console !

    Le grand test de la PS5 Pro vous dit tout sur la console : Prix justifié ou non, puissance visible ou pas, etc.

    A lire également

    Pourquoi instant casino est le casino numéro top de PlayBonus

    • By Sadako
    • décembre 10, 2024
    • 110 views
    Pourquoi instant casino est le casino numéro top de PlayBonus

    Attention, Indiana Jones n’est pas un Tomb Raider | Uncharted

    • By Sadako
    • décembre 9, 2024
    • 511 views
    Attention, Indiana Jones n’est pas un Tomb Raider | Uncharted

    12 minutes de gameplay pour Soul Reaver 1&2 Remastered

    • By Rainbow
    • décembre 8, 2024
    • 399 views
    12 minutes de gameplay pour Soul Reaver 1&2 Remastered

    Dragon Age: The Veilguard | EA refuse de communiquer sur les ventes

    • By Rainbow
    • décembre 8, 2024
    • 272 views
    Dragon Age: The Veilguard | EA refuse de communiquer sur les ventes

    Gameplay Indiana Jones Xbox | Les 2 premières heures de jeu

    • By Sadako
    • décembre 5, 2024
    • 527 views
    Gameplay Indiana Jones Xbox | Les 2 premières heures de jeu

    Configs PC Indiana Jones | Un monstre pour si peu ?

    • By Sadako
    • décembre 4, 2024
    • 607 views
    Configs PC Indiana Jones | Un monstre pour si peu ?