Voilà déjà presque une année complète que le Battle Royale gratuit Call of Duty: Warzone a fait son apparition sur PC, PS4 et Xbox One. En 12 mois, nous avons joué quasi toutes les semaines au titre, aussi bien sur PC que sur PS4 et PS5, et un constat s’impose : des phases de cheat plus intenses que d’autres s’enchaînent. En cette mi-février 2021, il semblerait que les tricheurs se reproduisent plus vite que leur ombre, pour un Call of Duty: Warzone complètement paralysé par les tricheurs.
Avec des outils de triches de plus en plus performants et de moins en moins chers à obtenir, il est devenu très difficile de faire une partie de Call of Duty: Warzone sans rencontrer plusieurs cheaters. Activision a eu beau bannir plus de 60 000 joueurs la semaine dernière, le ménage n’a pas été suffisant, d’autant plus que n’importe quel tricheur banni peut refaire un compte et retourner dans le Battle Royale quelques minutes après son ban.
Comment faire pour reconnaître un tricheur dans Call of Duty: Warzone ? Il suffit de regarder la killcam de votre assassin, et de bien regarder comment se comporte son réticule. En cas de triche, une sorte de magnétisme viendra positionner le réticule sur votre tête (un « aim bot »), ce qui vous tuera en 2 ou 3 balles par headshot. L’autre méthode des cheaters est de vous voir à travers les murs (le « wall hack »), histoire de pouvoir anticiper vos déplacements. Durant la killcam, n’hésitez pas à « report » les joueurs qui trichent si vous en avez la certitude.
En espérant une bonne vague de bannissement, mais surtout à la naissance d’outils anti-cheat vraiment performants, nous ne toucherons pour le moment plus à Call of Duty: Warzone.