Test de What Remains of Edith Finch - Une aventure à ne pas manquer sur PS4 et PC !

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, par Amaury Laguerre (Sadako)

Genre sur-représenté dans les années 90 et début 2000, l'aventure ne dépérit pas en 2017. Parmi la jungle de jeux vidéo de catégorie budgétaire AAA, la scène indépendante et des projets moins onéreux chez les gros studios sont toutefois capables de nous proposer de belles histoires, et la sortie de What Remains of Edith Finch sur PS4 et PC en est une belle preuve. Vous avez aimé les dernières aventures vidéoludiques que sont Everybody's Gone to the Rapture, The Bunker, Life is Strange ou encore Dear Esther ? Nous vous proposons de vous attarder sur What Remains of Edith Finch, dont vous découvrirez ci-dessous la conclusion du test de Thomas effectué sur une version Steam, qui félicite le titre d'un beau 16/20.

Test de What Remains of Edith Finch - Notre Verdict

Note finale : 16/20

Conclusion du test : 

Edith Finch n’est pas à mettre en toutes les mains. Si, à aucun moment, le joueur ne sursautera ou ne se rongera les ongles de peur, le jeu des studios américains n’offre pas au joueur un monde des plus apaisants. What Remains of Edith Finch est un jeu résolument dérangeant, de par le thème qu’il s’échine à aborder. La mort est constante, et elle ne fait aucun cadeau, ni n’épargne personne. La malédiction qui pèse sur la maison familiale est réelle et il revient au joueur d’en découvrir la teneur, à son propre risque.

Pour ceux qui voient une certaine beauté dans la mort, pour les fans de la première heure des jeux à la David Cage, pour les adorateurs de la narration à la The Bunker, et pour les détracteurs des jeux à la technique irréprochable mais à la contenance famélique, What Remains of Edith Finch sera un chef d’œuvre. L’histoire qu’il raconte avec virtuosité en dépit de mécaniques de gameplay surannées, parle forcément aux sentiments et aux émotions. Pour peu que le joueur que vous êtes sache s’extirper des limbes purement objectives de la technique, What Remains of Edith Finch est un jeu narratif diablement bien maîtrisé, qui n’a rien à envier au ténor reconnu de la narration, le bien-nommé Neil Druckmann. C’est d’ailleurs ce même Neil Druckmann qui apparait dans les crédits du jeu des studios de Santa Monica, comme un adoubement à peine tacite de la maestria narrative de ce jeu adorablement doux-amer.

Lire le test de What Remains of Edith Finch à cette adresse

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