Test de DC Universe Online

, par la rédaction

Réalisation technique

12 / 20

Très fade mais contrastée, la réalisation technique de DC Universe Online oscille entre le réussi et le raté. Si les persos sont vraiment très bien modélisés, il n'en va pas de même pour les environnements et bâtiments on ne peut plus moche. Pour boucler le tout, les bugs d'affichages sont légion.

Direction artistique

15 / 20

Pour ce qui est le point le plus convaincant du titre, la direction artistique de DC Universe Online fait plaisir aux yeux. Les fans évolueront avec plaisir dans un monde où les cinématiques, boss et villes respectent très bien le monde comics de DC.

Level design

8 / 20

Des mobs bêtes comme des harengs séchés et une répétitivité générale qui agacent énormément. Souvent perdu, le joueur évolue alors bon gré mal gré dans un Gotham City et un Metropolis qui auraient pourtant pu donner bien plus de diversité à tout niveau. Le farming est enfin trop au centre du jeu, pour ne pas dire qu'il se résume à cela.

Gameplay

10 / 20

Sur PlayStation 3, le gameplay est parfaitement adapté. On déplore surtout un manque flagrant de combos et des barres de vie interminables dés les affrontements contre les mobs moyens et le JCJ.

Scénario

12 / 20

Bande sonore

11 / 20

Excellents, les doublages (assurés notamment par le doubleur Français de Christopher Lloyd) en jettent et sont toujours dans le ton. Les bruitages sont également plaisants, mais l'absence de musique glace un peu l'ambiance.

Durée de vie

12 / 20

Hormis pour affronter les boss, le leveling n'est pas très intéressant. A partir de ce constat, la durée de vie n'aura de limite que votre lassitude envers un jeu au gameplay simple et rébarbatif.

Verdict

11 / 20

De prime abord alléchant, DC Universe Online n'est au final qu'une mise en bouche étriquée des capacités potentielles du titre. Après une introduction pourtant magnifique, on découvre un jeu fade, répétitif et qui ne révèle que toute son essence à 15 euros par mois, en sus des 40 euros nécessaire à l'obtention du packaging. Décevant, tout simplement.