Sadako
Depuis le début, nous avons beaucoup de mal à croire en la Mad Box de Slightly Mad Studios. Console censée faire de l’ombre aux futures PS5 et Xbox Scarlett, la Mad Box essuie aujourd’hui les plâtres de plusieurs problèmes, qui mettent en avant une probable mythomanie de son créateur, Ian Bell.
Premier problème que rencontre la Mad Box ? Le dépôt de son nom en tant que marque qui a été rejetée suite à l’existence antérieure d’un studio de jeu vidéo français portant déjà ce nom. Sur ce point, rien à dire, Slightly Mad Studios n’y peut rien et sera obligé de changer l’appellation de sa machine.
Mais là où nous commençons à sérieusement douter de la bonne foi de Ian Bell fait suite à une déclaration du PDG de Slightly Mad Studios, qui déclare que deux investisseurs sont partis du projet pour se rapprocher de Google suite à l’annonce de Stadia, le service de Cloud Gaming du géant américain.
Résultat, Slightly Mad Studios serait à la recherche de nouveaux investisseurs pour assembler la coquette somme de 1,2 milliards de dollars. Ce montant est astronomique, et a tendance à prouver que notre méfiance originelle vis-à-vis de ce pari impossible était bien fondé. Nous nous trompons peut-être, et nous nous excuserons auprès de Slightly Mad Studios si tel est le cas, mais en l’état actuel des choses, la « Mad Box » reste un beau fantasme uniquement matérialisé par des promesses aguicheuses.
Rainbow
